Il faut prendre IB par son POINT FORT!

Comment aurait-il pu s’imposer aussi facilement, s’il n’avait pas compris qu’il fallait oser s’attaquer au totem de la société ? C’était un coup de poker. C’était risqué. Mais le jeu en valait la chandelle. Il fallait oser s’en prendre à l’INFORMATION et aux PUISSANTS MOYRNS de communication, pour désorganiser cette citadelle DÉMOCRATIQUE et instaurer une AUTOCRATIE à son unique service.

Dans la société de l’INFORMATION qui prévalait à son avènement au pouvoir, IB a compris qu’il ne pouvait rien faire sans elle. Mais il savait aussi qu’elle ne le suivrait pas aveuglément. Il a donc agit en deux temps. Dans un premier, il s’en est servi pour prendre le dessus sur ses rivaux et pour bien s’installer. Un trimestre après, ces « mensonges fondateurs » arrivant à péremption, il a compris que après avoir été un allié dans la prise du pouvoir, les SOCIÉTÉS d’INFORMATION allaient être son redoutable bourreau. Il a alors osé le pari de leur démantèlement. Il a su user de deux facteurs favorables pour pousser son audace. Le CSC était en crise. Son président intérimaire était contesté et fragile et puis l’ambiance « anti France » quasi hystérique. Il a donc commencé par s’attaquer aux GOLIATH de l’INFORMATION les médias FRANÇAIS. D’abord la plus écoutée, RFI puis à France24. C’étaient les deux médias qui auraient été ses redoutables concurrents dans le SYSTÈME DE DÉSINFORMATION GLOBALE, qu’il envisageait d’installer pour mieux asservir toute la société. Les BURKINABE réduits désormais à ne regarder que la RTB, les CHRONIQUES DE TAONSA au 20 heures prennent très vites à l’image des TELENOVELAS BRÉSILIENS. Surtout qu’elles donnaient enfin l’impression que LE PAYS PRENAIT LE DESSUS sur les ignobles terroristes que les drones calcinaient chaque jour, selon un scénario et un narratif culte et immuable. Les drones observent à partir du ciel, les terroristes qui se rassemblent sous un arbre ou dans un bâtiment. Puis contre eux, les drones déclenchent un déluge de feux et les calcinent. Tous les toujours, le même scénario. Mais tant que ce sont les terroristes qui meurent dans le film, l’opinion ne s’en lasse pas. Le scénariste n’a pas à se préoccuper des images qu’il recycle. Il n’y aucun risque qu’il soit contredit, l’environnement médiatique nationale étant désormais circonscrit à la seule RTB et à la seule AIB.
Quand les gens ne voient plus les soldats qui tombent, les incidents sécuritaires qui surviennent, c’est que tout va bien. Et le président IB veille à éteindre toutes les voix discordantes. Celui qui dit que TAONSA ment va aller au FRONT pour apprendre à porter les BONNES ŒILLÈRES et voir le BURKINA KURA de IB.
Mais en matière de coercition il n’est pas prudent de se reposer sur une seule mesure. Il faut en multiplier. Pour prohiber toute information contraire, la propagande de IB va instituer des équivalents infamants :

• Montrer les revers des FDS ou en parler, C’est COMMUNIQUER POUR LES TERRORISTES.
• Critiquer IB s’est être APATRIDE
• Dénoncer l’absence de démocratie, les abus du régime, les violations des droits de l’homme, c’est ÊTRE UN VALET LOCAL de la FRANCE.
  De la sorte, chacun veille bien qu’on ne l’assimile ni à un COMMUNIQUANT DES TERRORISTES ni à un VALET LOCAL DE LA FRANCE, et surtout pas à APATRIDE.
  Ainsi bien paré, IB peut faire tout ce qu’il veut du BURKINA et des BURKINABE. En fait, 64 ans après les INDÉPENDANCES c’est lui qui a fait du BURKINA sa NATTE, comme l’avait RÊVÉ MAURICE YAMEOGO, sans parvenir à le mettre en œuvre.

ALORS C’est sur cette arène, qu’il faut battre IB!
Comme au judo, pour vaincre l’adversaire, il faut le prendre par son point fort. Si IB ne peut plus communiquer SEUL, tout son édifice s’écroule.

D’où cette plateforme SIDWATO !
Une plateforme multimédia, à la fois, l’écrit, l’audio, les vidéos et une interconnectivité sur l’ensemble de la palette web. Le meilleur que la technologie web permet aujourd’hui.
La communication indépendante est le seul puissant ANTIDOTE au système mortifère d’abrutissement qui a réussi à faire de ce pays, ce que nul n’aurait imaginé faisable. Au Burkina depuis 1960, en permanence toutes les générations ont refusé deux choses; les considérant même comme un totem:

• l’idée de pouvoir personnel. Les BURKINABE n’ont jamais accepté considérer leur PRÉSIDENT, comme un HOMME PROVIDENTIEL. C’est anecdotique, mais révélateur. Les BURKINABE ont tjrs appelé leur président par leur PRÉNOM. Comme pour dire ce sont des mortels et non des Dieux.
• Le refus d’une tutelle MILITAIRE ÉTRANGÈRE. Or avec IB nous vivons une tutelle militaire quasiment ABSOLUE sur le pays avec une base militaire RUSSE qui a pour objet unique et principal INTERVENIR ET ARBITRER EN FAVEUR D’UNE PERSONNE DANS LE JEU POLITIQUE.

Depuis que MAURICE YAMEOGO avait dénoncé l’accord militaire avec la FRANCE, en 1961, aucun PRÉSIDENT n’avait osé aller à l’encontre. Pas même BLAISE COMPAORÉ qu’une certaine opinion qualifie de GRAND VASSAL de la FRANCE. Si SABRE a pu s’installer à OUAGADOUGOU, ce n’était pas pour intervenir au BURKINA, mais au MALI. La propagande Russe a su amalgamer les choses pour mousser le sentiment anti français du MPSR2, mais pour l’essentiel, ON A FAIT UN MAUVAIS PROCÈS À SABRE en l’accusant de ne pas avoir été déterminant dans la lutte contre le terrorisme, malgré les moyens qu’il avait, alors que personne ne lui avait fait appel et que son mandat ne le lui autorisait aucunement.

• Ensuite cette plateforme a pour slogan, la VÉRITÉ. Il y a un immense besoin de la RESTAURATION de la VÉRITÉ. Le mensonge ASSUMÉ est sans doute ce qui a abîmé notre pays. Même pour la BONNE CAUSE on ne peut pas ANOBLIR le MENSONGE. Le MENSONGE est par essence et par destination très ABJECTE, on ne peut aucunement faire l’insulte au GRAND PEUPLE du BURKINA qu’il doit patauger dans les FANGES pour sortir de cette IGNOBLE ÉPREUVE que lui impose l’INTERNATIONAL TERRORISTE et que Ces MILITAIRES du même Acabit EXPLOITENT pour faire un OPA sur UN BURKINA en DANGER de MORT.
  Avec SIDWAKATO nous avons un OUTIL INÉDIT pour RÉHABILITER la DÉMOCRATIE et la LIBERTÉ CES VALEURS QUI ONT FAIT LE BURKINA FASO QUI A TOUJOURS IMPOSÉ RESPECT ET CONSIDÉRATION en AFRIQUE et dans le reste du monde.
  A VOUS DE VOUS EN SERVIR !